Gertrude MILLAIRE |
À bas ! ces cris de guerre tentacule, vipère, araignée géante qui emprisonnent les rêves Coeur en tête Inaudible la brise Sans mot, sans parole Oh! passagère étrange 18-03-97 |
Des flaques d'ennui détrempent ce jour masqué d'impatiences fertiles heures pleureuses où les rires dérangent ce novembre frileux aux mains gercées enfoncées dans les poches trouées de l'oubli 1997 |
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