Lydia PAVOT |
MINISTROPHES
Il fracasse les rochers sur les sommets du
temps qui passe Les pourfendant entre ses doigts comme des sacs de nuds que l'on casse Un horizon s'est achevé Le temps a compté ses miracles à la brise
du soir qui lui a dit : merci Ils ont gardé entre leurs mains, toutes les
promesses de ce monde Toi qui es un oiseau, dis-moi pourquoi je
vole Un chat, avec ses yeux ronds, ses pattes
''ensocquettées'' Jamais je ne parlerai Ils ont compté les fleurs avant de les
cueillir Je suis de ces amours |
Lydia PAVOT - Tous droits réservés |
l
Retour aux invités
ou retour au sommaire
de l'Espace poétique